Définition
Coopération de commerces indépendants ayant pour but d’améliorer les conditions dans lesquelles ceux-ci exercent leur activité commerciale. Ces commerces se fournissent dans des centrales d’achat et/ou de référencement. Pour entrer dans une coopérative, le futur associé doit acheter une part du capital de la société.

Les membres d’une coopérative sont à la fois clients et adhérents. La notion d’adhérent (associé) désigne le porteur de parts sociales de la société coopérative. Au sein du Commerce Associé, les porteurs de parts sociales sont avant tout des entrepreneurs indépendants, propriétaires de magasins, qui ont vocation à utiliser les services du groupement. La répartition est égale entre les adhérents, l’importance d’un adhérent n’est pas fonction du nombre de parts qu’il possède ni de son ancienneté. On applique le principe « un homme = une voix ».


Avantages et inconvénients
Le retrait des associés de la coopérative est facilité. Ce mode de fonctionnement est bien organisé en France et bien encadré sur le plan juridique. En revanche, le principe « un homme = une voix » peut devenir une contrainte lors de prises de décisions.


En pratique
Le système des coopératives s’applique dans le secteur alimentaire, les articles de sport, l’optique, la papeterie, la jardinerie, la chimie, etc.
Exemples de coopératives d’entreprises : Intersport, Optic 2000, Système U et E. Leclerc.


Législatif
La loi du 2 août 1949 et la loi sur les nouvelles réglementations économiques et l’article L 124-1 à L.124-16 du Code de commerce réglementent ce mode de fonctionnement.


Bon à savoir
Mode de fonctionnement souvent confondu avec les entreprises de type capitaliste ordinaire.
90 % : taux des acteurs du commerce associé utilisant la forme juridique de coopérative de commerçants détaillants.
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