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    5 questions sur la cession et reprise de commerces en stations de ski
    Existe t'il une fiscalité spécifique pour la cession de commerces en station de ski ? Il n’existe pas de régime fiscal spécifique uniquement pour la cession de commerces situés en stations de ski, mais certaines particularités peuvent s’appliquer selon la localisation, la nature de l'activité et la fiscalité locale. Les aspects suivants sont toutefois à prendre en compte : L'imposition des plus-values en effet comme pour toute cession de fonds de commerce, les plus-values réalisées lors de la vente sont soumises à l'impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux. Les commerçants peuvent bénéficier d'exonérations selon la durée de détention du fonds ou le montant de la cession. La cession d’un fonds de commerce est généralement exonérée de TVA, mais certaines opérations, comme la vente d’actifs isolés (équipements, stock), peuvent y être soumises. Les droits de mutation varient en fonction du type de cession et de la région, et peuvent inclure des taxes locales spécifiques. Par contre il est possible de bénéficier de certaines exonérations fiscales, notamment via l’article 238 quindecies du Code général des impôts pour les plus-values réalisées lors de la cession d'une petite entreprise si certaines conditions sont remplies (montant de la vente, taille de l’entreprise, etc.). Quand effectuer les démarches pour acquérir un commerce en station de ski ? Le timing est de façon évidente crucial en raison de la saisonnalité des activités dans les stations de ski.Tout d'abord en amont de la saison d’hiver, l’idéal est de conclure les démarches avant l’automne, de manière à être opérationnel dès l’ouverture de la saison hivernale (souvent en décembre). Cela permet de profiter de la haute saison touristique, où l'affluence est la plus forte et les recettes les plus importantes.Au contraire de nombreuses cessions se font également après la fin de la saison (au printemps), car les propriétaires ont alors une vision claire de leurs résultats financiers et peuvent anticiper un changement de propriétaire avant la saison suivante.La période entre les saisons d’hiver et d’été peut être propice à la négociation car elle est plus calme, permettant aux nouveaux propriétaires de se préparer pour la prochaine saison. Y a t'il des secteurs d'activité à privilégier dans les stations de ski ? Plusieurs types de commerces se révèlent stratégiques dans les stations de ski, en fonction de la demande touristique :Le secteur de la restauration et bars est toujours un domaine clé, car les touristes cherchent à se restaurer après une journée de ski. Les établissements offrant des expériences variées (restaurants gastronomiques, après-ski convivial, options rapides) sont souvent rentables.L'hébergement et services d'accueil tels que les hôtels, chalets, résidences, ainsi que les entreprises de gestion locative pour répondre à la forte demande saisonnière.Les commerces de location et vente de matériel de ski sont un secteur traditionnellement fort. En parallèle, certains se diversifient en proposant la location de matériel pour d’autres activités (vélos, randonnées, raquettes) en été.Les commerces de bien-être et loisirs proposant des services annexes, comme des spas, centres de bien-être, salles de sport ou encore des activités ludiques pour les non-skieurs, sont en croissance.En raison des infrastructures techniques des stations, des commerces comme des ateliers de réparation de matériel ou des services de maintenance technique peuvent également être rentables. Quel est l'mpact du changement climatique sur les commerces en station de ski ? Le réchauffement climatique a un impact direct sur les activités économiques des stations.On constate un raccourcissement de la saison hivernale, en effet les saisons de ski sont de plus en plus courtes, et certaines stations de basse altitude manquent de neige naturelle. Cela affecte les commerces saisonniers qui dépendent de la neige.Cela provoque logiquement une diversification des activités ainsi de nombreuses stations investissent dans des activités hors-ski pour attirer des visiteurs tout au long de l’année (randonnées, VTT, tyroliennes, activités aquatiques). Pour les commerces, cela signifie une demande croissante pour des offres variées, comme la restauration et les services adaptés à des touristes estivaux.C'est ainsi qu'émerge l'Eco-tourisme qui représente une transition vers un modèle plus durable pourrait également offrir des opportunités, avec une montée en puissance des activités plus respectueuses de l’environnement et des services écologiques. Quelles sont les aides spécifiques et soutien des collectivités locales ? Les stations de ski sont souvent des moteurs économiques pour les communes environnantes, et plusieurs aides ou subventions sont alors parfois disponibles.Il existe des aides à l’investissement, les régions montagneuses peuvent proposer des aides pour encourager l’implantation ou la reprise de commerces dans les stations, notamment dans des secteurs stratégiques comme le tourisme ou les services.Certaines stations de ski situées en Zones de revitalisation rurale (ZRR) bénéficient d’avantages fiscaux (exonération d'impôts sur les bénéfices, exonération de cotisations sociales) pour les nouvelles entreprises ou celles en phase de cession.Par ailleurs certaines collectivités locales, en partenariat avec des organisations comme l’ANCT (Agence nationale de la cohésion des territoires), offrent des subventions pour moderniser ou développer des commerces, notamment dans le cadre de la transition écologique ou pour le développement d’offres touristiques hors saison.Enfin certaines stations sont ouvertes aux partenariats public-privé pour le développement d’infrastructures ou de services complémentaires. La cession de commerces en station de ski présente des opportunités, mais demande une préparation minutieuse, tenant compte des spécificités saisonnières, des secteurs à fort potentiel et des enjeux environnementaux. La fiscalité, bien que classique, peut inclure certains allègements intéressants, et les collectivités locales jouent un rôle crucial en matière de soutien aux commerces.
    Publié par : CESSIONPME.COM
    CessionPME participe au Rendez-vous incontournable du Salon RENT 2024 les 6 et 7 novembre 2024
    CessionPME est ravie de vous annoncer sa participation au salon RENT 2024, Porte de Versailles à Paris les 6 et 7 novembre 2024. Venez rencontrer CessionPme.com, l’expert en Immobilier professionnel dans la cession d'entreprise et l'immobilier professionnel, au stand D31 Pavillon 6. CessionPME  participe à l’édition 2024 du salon RENT Le salon RENT (Real Estate and New Technology) est l'événement de référence pour les acteurs de l'immobilier, offrant une opportunité unique de découvrir les tendances émergentes et les innovations qui transforment le secteur.  Pour l’édition 2024, l'intelligence artificielle sera au centre des échanges, avec un focus sur son impact dans l'immobilier. Face aux évolutions du marché, les technologies telles que l'IA deviennent essentielles pour répondre aux nouveaux défis et aux attentes des professionnels du secteur. Durant ces deux jours, nos experts de CessionPME, Arantxa MANTEROLA, Directrice Marché Immo Bellespierres - CessionPme - OuestFrance-Immo Pascal LAMBOTIN, Directeur seront à votre disposition au stand D31 Pavillon 6 pour échanger et partager sur les besoins des professionnels de l’immobilier, sur les solutions digitales et sur le savoir-faire de chacun. Seront également présents, les experts des portails Bellespierres, spécialiste de l’Immobilier de Prestige, et OuestFrance-immo, Portail d’annonces immobilières résidentiel, Leader dans le Grand Ouest seront au côté de CessionPME pour proposer une solution IMMOBILIÈRE 360° accessible sur https://www.ouestfrance-immo.pro/ À propos de CessionPME  CessionPME est la plateforme leader dédiée à l'immobilier professionnel diffusant des annonces de vente et d’achat d’entreprises, TPE, PME, fonds de commerce, franchises ainsi que des annonces de vente et location de bureaux, locaux commerciaux, espaces coworking, entrepôts.  114500 affaires en ligne dont 58% d’entreprises et commerces et 42% de locaux commerciaux, bureaux et entrepôts. CessionPME, filiale du Groupe Ouest-France, c'est aussi 17000 mises en relation par mois, 430000 visites mensuelles. L’engagement de CessionPME, depuis 25 ans d’existence, est d’aider les acteurs de l’immobilier professionnel à développer leur business grâce au digital. Contact Presse  Pascal LAMBOTIN,  Directeur : 06-82-80-51-75, pascal.lambotin@octea.com Marina MARTINE, Chargée de Communication : 06-33-49-66-72, marina.martine@octea.com Nos réseaux sociaux Facebook : https://www.facebook.com/cessionpme/LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/cessionpme/
    Publié par : CESSIONPME.COM
    Reprendre un commerce sans apport
    Reprendre une entreprise ou un commerce sans apport en France en 2024 : Mode d'emploi La reprise d’une entreprise ou d’un commerce sans apport est une option qui peut sembler complexe, mais elle n’est pas impossible. En France, en 2024, plusieurs solutions permettent aux repreneurs potentiels de concrétiser leur projet sans disposer d’un capital de départ. Cet article vous propose un guide pratique et détaillé pour comprendre les étapes à suivre, les solutions existantes, les difficultés potentielles et les aides auxquelles vous pouvez prétendre. Pourquoi reprendre sans apport est envisageable ? Les opportunités de reprise sont nombreuses sur cessionpme.com notamment et il existe des solutions pour financer votre projet même si vous ne disposez pas de fonds propres. Que ce soit pour un commerce de proximité, une entreprise de plus grande envergure, plusieurs dispositifs et mécanismes financiers permettent de compenser l’absence d’apport personnel.La reprise d’une entreprise présente souvent moins de risques que la création d’une activité ex nihilo. Une entreprise existante a déjà une clientèle, une notoriété et un modèle d’affaires éprouvé, ce qui peut rassurer les partenaires financiers. Les solutions de financement sans apport Le crédit-vendeur Le crédit-vendeur est une solution couramment utilisée dans les reprises d’entreprises sans apport. Il s’agit d’un accord par lequel le vendeur accepte de financer tout ou partie du prix de vente en différé. Concrètement, vous payez une partie du prix lors de la signature (souvent une petite somme), puis vous remboursez le solde sous forme d’échéances.Avantages : Le crédit-vendeur démontre la confiance du cédant dans la réussite de la reprise. Cela permet au repreneur de limiter les besoins immédiats en fonds. Inconvénients : Il faut trouver un vendeur prêt à accepter cette solution. Le montant du crédit-vendeur ne finance généralement pas l’intégralité du projet. Le prêt d’honneur Les prêts d’honneur sont des prêts sans garantie ni caution personnelle, octroyés par des associations ou des organismes tels que France Initiative ou le Réseau Entreprendre. Ces prêts peuvent financer une partie de l’acquisition et sont souvent accordés en complément d’autres financements bancaires.Avantages : Ils permettent de constituer un effet de levier pour obtenir un prêt bancaire plus conséquent. Leurs conditions sont souvent avantageuses (taux zéro ou très bas). Inconvénients : L’obtention d’un prêt d’honneur est soumise à un dossier solide et à l’accompagnement d’un réseau. Le financement participatif (crowdfunding) Le crowdfunding ou financement participatif permet de lever des fonds en ligne via des plateformes dédiées. Ce mode de financement est particulièrement adapté aux projets qui suscitent un fort intérêt local ou communautaire.Avantages : Possibilité de mobiliser rapidement un grand nombre d’investisseurs. Adapté aux commerces de proximité, aux projets innovants ou à fort impact social. Inconvénients : Le succès dépend de la capacité à mobiliser une communauté autour du projet. Les sommes levées peuvent être insuffisantes pour financer un projet de grande envergure. Les aides et subventions publiques En fonction du secteur d’activité, de la localisation et du type de commerce ou d’entreprise, plusieurs aides publiques peuvent être sollicitées. Aide à la reprise d’entreprise par les salariés (ARCE) : si vous êtes demandeur d'emploi, vous pouvez bénéficier de cette aide de Pôle Emploi. Elle vous permet de recevoir une partie de vos allocations chômage sous forme de capital pour financer votre reprise. Subventions locales et régionales : chaque région dispose de dispositifs spécifiques pour soutenir la reprise d’entreprises, notamment dans les zones rurales ou dans certains secteurs stratégiques (agriculture, industrie, tourisme). Les aides sectorielles : certains secteurs bénéficient de subventions spécifiques, comme les commerces en milieu rural (via le programme "Petites Villes de Demain") ou les entreprises dans les zones économiques spéciales. Le recours aux investisseurs externes Si vous ne disposez pas d’apport, vous pouvez faire appel à des investisseurs privés (business angels, fonds d’investissement, etc.). Ces derniers investissent en échange d’une participation au capital de l’entreprise.Avantages : Les investisseurs apportent non seulement des fonds, mais aussi leur expertise et leurs réseaux. Ce mode de financement est particulièrement adapté aux entreprises à fort potentiel de croissance. Inconvénients : Vous devez céder une partie du capital de votre entreprise, ce qui peut impliquer une perte de contrôle. Les démarches à suivre Trouver le commerce ou l’entreprise à reprendre Le premier défi est de trouver une entreprise ou un commerce à reprendre. Pour cela, il est essentiel de bien définir vos critères (secteur, taille, localisation, etc.). Les plateformes spécialisées, comme cessionpme.com l’offre d’opportunités de cession la plus large du marché. Réaliser un diagnostic complet de l’entreprise Une fois l’entreprise identifiée, il est crucial de procéder à un audit approfondi. Ce diagnostic permet d'évaluer : La santé financière (bilan, compte de résultat), Le potentiel de développement, La clientèle existante, Les risques éventuels (litiges, endettement). Il est fortement recommandé de se faire accompagner par des experts (expert-comptable, avocat spécialisé) pour cette phase. Monter un plan de financement solide Un business plan bien structuré est essentiel pour convaincre les banques, investisseurs ou partenaires. Il doit détailler : Le modèle économique de l’entreprise, Les projections financières, Les besoins en financement, Le plan de remboursement des emprunts. Se rapprocher des organismes d’accompagnement Des organismes comme CCI France, title="Réseau entreprendre">Réseau Entreprendre, ou Initiative France proposent des accompagnements spécifiques pour les repreneurs d’entreprises. Ils peuvent vous conseiller dans le montage de votre projet, la recherche de financements et les démarches administratives. Signer les actes de cession Une fois l’ensemble des financements bouclés et les due diligences réalisées, il est temps de signer l’acte de cession. Cet acte doit être validé par un notaire ou un avocat pour garantir la sécurité juridique de l’opération. Les difficultés à anticiper La reprise d’un commerce ou d’une entreprise sans apport peut être semée d’embûches. Voici les principaux obstacles auxquels vous pourriez être confronté : La réticence des banques : certaines banques peuvent hésiter à financer une reprise sans apport personnel. Un dossier solide et un bon réseau d’accompagnement sont essentiels pour les convaincre. La négociation avec le vendeur : il peut être difficile de trouver un vendeur prêt à accorder un crédit-vendeur ou à accepter des conditions de paiement différé. Le temps nécessaire : la recherche d’un financement sans apport peut allonger le délai de reprise. En moyenne, il faut compter entre 6 mois et un an pour mener à bien l’ensemble des démarches. Conclusion : Est-ce réaliste de reprendre sans apport en 2024 ? Reprendre un commerce ou une entreprise sans apport est tout à fait envisageable, à condition d’être bien préparé et de connaître les leviers financiers à activer. En 2024, avec les nombreuses solutions de financement alternatives et l’accompagnement d’organismes spécialisés, il est possible de surmonter cet obstacle. Cependant, cela demande de la patience, un réseau solide et une bonne connaissance des dispositifs d’aides et de subventions disponibles.Avec une bonne préparation et une stratégie financière adaptée, la reprise d’une entreprise sans apport peut se transformer en une opportunité unique de concrétiser votre projet entrepreneurial !
    Publié par : CESSIONPME.COM
    Reprise de fonds de commerce de camping
    Reprendre un fonds de commerce de camping : Une opportunité d’investissement touristique La cession d’un fonds de commerce de camping consiste en la vente des actifs d'un camping (équipements, clientèle, contrat de location, etc.) à un repreneur qui souhaite exploiter cette activité. Ce secteur connaît un fort attrait en raison du dynamisme du tourisme de plein air, mais la reprise d’un camping, qu’il soit situé en bord de mer, à la montagne ou ailleurs, nécessite une étude approfondie et une préparation minutieuse. L'emplacement d'un camping est l’un des principaux facteurs de succès et d'attractivité pour les vacanciers. Chaque localisation offre des atouts spécifiques. Camping en bord de mer Les campings situés en bord de mer sont particulièrement prisés en raison de la proximité avec les plages, les activités nautiques et l’ambiance estivale. Ces établissements sont très attractifs pendant la haute saison et peuvent attirer une clientèle variée, des familles aux groupes d’amis ; ils présentent donc un potentiel commercial indéniable pour un investisseur que ce soit sur la Côte d'Azur, le Languedoc-Roussillon, en Bretagne, sur la Côte Atlantique en Vendée, en Charente Maritime, en Gironde, sur la Côte Landaise ou la Côte Basque. Mais les coûts d’acquisition d’un tel camping sont théotiquement plus élevés que pour les autres au vu du potentiel de chiffre d'affaire plus important. Camping en montagne Les campings de montagne offrent une alternative plus axée sur la nature, la randonnée et les sports d’hiver, attirant une clientèle souvent passionnée par le plein air et les paysages alpins. La saisonnalité de leurs activités commerciales est très marquée : l’affluence est forte en été (bien que moindre qu’en bord de mer) et en hiver. Les campings de montagne doivent être équipés pour l’hiver (chauffage, infrastructures), ce qui peut augmenter leurs charges de fonctionnement. Les formes d’hébergement assimilées au camping En plus des emplacements traditionnels pour tentes et caravanes, de nouvelles formes d'hébergement viennent enrichir l’offre des campings et répondent à la demande croissante de confort et d’originalité : mobil-homes, chalets en bois, tentes "glamping" (contraction de glamour et camping), hébergements insolites...Les campings sont classés en fonction de leur niveau de confort et de services, de 1 à 5 étoiles, selon des critères fixés par Atout France. Les avantages et inconvénients de reprendre un camping Les principaux avantages sont : Rentabilité saisonnière : Les campings bien situés (bord de mer, montagne) peuvent être très rentables pendant les périodes touristiques, avec des taux de remplissage élevés. Secteur dynamique : Le camping est un mode d’hébergement qui reste populaire, notamment avec l'essor du glamping et de l’écotourisme. Développement flexible : En fonction des tendances, il est possible de diversifier l’offre (hébergements atypiques, activités supplémentaires, etc.). Mais il faut mettre aussi en relief les inconvénients suivants : Saisonnalité : une forte dépendance à la saison touristique (été ou hiver) peut être un frein à la rentabilité annuelle ainsi qu'aux aléas climatiques (pluie en été, froid au printemps...). Les charges d’exploitation élevées : les campings nécessitent un entretien constant, notamment des infrastructures sanitaires, des hébergements et des espaces verts. La concurrence locale : les campings situés dans des zones très touristiques doivent se démarquer face à une offre dense. Les différentes options dans la reprise d’un camping Lorsque vous envisagez de reprendre un camping, plusieurs options s’offrent à vous : Reprise en direct du fonds de commerce : Vous achetez les actifs du camping (matériel, clientèle, contrats) et vous exploitez le site en votre nom. Reprise en location-gérance : Vous gérez le camping pour le compte du propriétaire moyennant un loyer. Cette option permet de tester l’activité avant un éventuel rachat. Reprise avec accompagnement du cédant : Certains cédants peuvent proposer une période d’accompagnement pour transmettre leur savoir-faire et faciliter la transition. Les pièges à éviter lors de la reprise d’un camping Reprendre un camping peut être une excellente opportunité, mais il existe plusieurs pièges à éviter : Sous-estimer les coûts d’entretien et de mise aux normes : Beaucoup de campings nécessitent des travaux pour répondre aux nouvelles exigences de sécurité, d’accessibilité et d’environnement. Négliger l’étude de la clientèle et de la saisonnalité : Une analyse précise des flux touristiques et du profil de la clientèle est essentielle. Les campings en bord de mer peuvent avoir une haute saison très courte, et ceux en montagne dépendent fortement des périodes d’enneigement. Ignorer la concurrence : Le secteur du camping est très compétitif. Assurez-vous de bien analyser l’offre existante dans la région et d’envisager des moyens de différenciation (glamping, activités de loisir, infrastructures de qualité). Ne pas anticiper la gestion administrative et réglementaire : La gestion d’un camping implique une connaissance des règles locales, des licences nécessaires (piscines, restaurants), et des autorisations d’urbanisme, notamment en matière de zones naturelles protégées. En conclusion on peut dire que la cession et la reprise d’un camping peuvent constituer un projet entrepreneurial passionnant, mais il est crucial de bien s’informer et de prendre en compte l'emplacement, la saisonnalité, et le niveau d’étoiles du camping pour maximiser son succès. Avec une étude approfondie, un plan d’affaires solide, et une capacité à s'adapter aux attentes des campeurs, ce type d’investissement peut se révéler très rentable.
    Publié par : CESSIONPME.COM